Raphaëlle Boisleux, psychologue, hypnothérapeute, formatrice en développement personnel, en accompagnement à la parentalité, praticienne en Neurofeedback quantitatif.
Psychologue, psychothérapeute, hypnothérapeute, Praticienne Neurofeedback
Formatrice en développement personnel, éducation positive et accompagnement à la parentalité.
“Les formations et l’accompagnement thérapeutique que je propose sont le fruit de mon chemin personnel et professionnel construit au fil des années, au grès de mes besoins, de mes rencontres et de mes formations. Suite à mon congé parental, je crée la boîte à Soi pour transmettre tous ces outils de vie collectés à Paris, Lille, Bruxelles…. Avec en ligne directrice, que chacun puisse trouver son équilibre de vie et sa manière d’être vivant.”
Formations complémentaires
•Formation au Neurofeedback quantitatif (5j), Neurosens, Brendan Pearson, Montpelliers, juin 2019 et supervisions avec Brendan Pearson (Spécialiste canadien du Neurofeedback quantitatif).
•Formation à la présence thérapeutique (37j) , EDLPT, Thierry JANSSENS, Bruxelles, 2017/2020.
•Psychologie positive et Education positive (16j) : avec Iliona Boniwell, Laure Reynaud, Scholavie. Formatrice certifiée Education positive (Paris, Lille)
•Hypnose (37j) avec JOYCE MILLS (spécialiste l’hypnose pour enfant), G.FORTUNATO, Lise BARTOLI, Docteur E.MAIRLOT, Docteur P.Lelong, Synapse. Praticienne en nouvelle hypnose. Hypnose pour les enfants. Hypnose et Résonance. Hypnose et constellations archétypales (Paris, Lille, Bruxelles).
•Parentalité (15j): Ateliers parents Faber et Mazlish, Thérapie familiale Systémique, Parents équilibre. Discipline positive.Constellations familiales. (Paris, Amiens)
•Thérapie Gestalt (18j) : Institut de Gestalt du Nord, Emotions, Enfance et Adolescence, Processus thérapeutique, Aider.
•Divers : Ennéagramme (3j) ; Gestion Mentale, Apprendre à apprendre (6j). Création d’une association à visée d‘échange et de formation « Psy en devenir », 2002, Lille et Supervision groupale psychanalytique (2001-2009) dans ce cadre. Thérapie personnelle.
Formation initiale
2001 DESS Psychologie clinique et pathologique à l’université René Descartes (Paris V).
43 ans, mariée, maman de trois enfants, passionnée d’écriture et d’illustration jeunesse. « Bonjour nuit », Edilivre, 2016. “La nouvelle vie de Grand-mère Andrée”Edilivre
Psychologue clinicienne :
De octobre 2016 à aujourd’hui : Psychothérapeute et formatrice sur Arras
De Août 2005 à octobre 2016 : Psychologue clinicienne au Centre de Soins Psychothérapeutiques pour Adolescent, Arras.
De Août 2001 à août 2005 : Psychologue clinicienne au centre de détention, Bapaume.
Interventions (Groupes, Formations, Conférences, Cours ):
•Stage “Mieux se connaître pour choisir sa vie” pour les jeunes de 15-19 ans (Arras). Oct 2016.
•Conférence “Les compétences au bonheur, ça s’apprend?” (APEL école/collège Saint JO Arras). Oct 2016.
•Intervention Nanterre. Société Française de Psychologie. “Education positive” en remplacement d’Ilona Boniwell, sept 2016.
•Stage «Apprendre à mieux se connaître pour choisir sa vie » auprès de jeunes de 18 à 25 ans. FAS, Association Artois Insertion (2j, janv 2016).
•Ateliers de Développement Personnel auprès d’enfant de CM2, RPI école communale Béhagnies. (de sept à déc 2016).
•Conférence « Nos enfants sont- ils enfermés dans des cases ? ». APEL, Ecole privée de Bucquoy, Sept 2015.
Développer la confiance en soi, les compétences au bonheur, les capacités relationnelles de nos enfants et adolescents. Les outils sont issus entre autres des résultats des recherches scientifiques en psychologie positive et en éducation positive. Regardez les témoignages!
« Une meilleure connaissance de soi augmente les capacités de réussite, la confiance en soi et le sentiment de satisfaction de vie”.
“Quelque soit le monde de demain, quelque soit leur avenir, nos enfants auront besoin de compétences de vie, de compétences relationnelles et de bien-être. Il est important d’aider nos enfants à construire leur intelligence émotionnelle et relationnelle autant que leur savoir scolaire! Si on utilise les maths dans nos vies, nous sommes assurément et constamment en relation avec les autres, avec nous même, avec notre capacité ou non à être heureux quelque soit notre sphère personnelle et professionnelle! “
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ci-dessous :
–Stage pour les lycéens : Parcours confiance en soi et résilience
–Stage pour les troisième juillet: confiance en soi et gestion du stress
–Ateliers pour les sixième
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POUR LES 15-19 ANS /lycéens:
Deux jours..
“Parcours Confiance en Soi et Résilience”: pour les 15-19 ans. 160 euros (le coût a baissé par rapport aux années précédentes car il n’y a plus de nécessité de louer les locaux). Minimum 8 participants. Le 19 et 20 octobre 2020, Lieu : 29 rue d’Amiens à ARRAS. de 9h30 à 17h. renseignement et inscription raphaelleboisleux@orange.fr 0683890641.
AU PROGRAMME !
“Deviens qui tu es!” Nietzsche.
C’est un beau parcours sur deux jours qui vous est proposé, c’est le fruit de nombreuses formations, depuis 20 ans, que j’ai synthétisé et adapté en version Jeune. Ces outils m’ont aidée et m’aident dans ma vie et j’ai à cœur de les transmettre. Ce stage, c’est une première pierre de gué pour donner du sens à sa vie, pour éclairer le jeune sur ce qui se passe en lui et trouver ses points d’appui. Les valeurs principales qui le sous-tendent sont la bienveillance (ce qui se reflète d’ailleurs à chaque fois dans les témoignages des jeunes), la conscience de soi et de l’autre et le déploiement de chacun. Oser être soi!
Quelques Témoignages des jeunes (recueillis oralement ou par questionnaire de satisfaction anonyme) :
Session 2020:
“je me souviendrai de ce moment qu’on a vécu ce matin, je m’en souviendrai longtemps”, “je croyais que j’étais seule à avoir des peurs, j’ai compris en fait que chacun a des peurs, et qu’on est tous pareil” “je suis très stressée, tous les outils qu’on a vu vont m’aider, c’est sûr, ça me fait du bien”, “j’ai pu m’ouvrir ici beaucoup plus ” “je me suis découvert des forces que je ne savais pas que j’avais…Témoignages de parents post-stage “” est heureux d’avoir vécu ces deux jours avec le groupe et vous. (Mon enfant) m’a dit “Maman, tu as vraiment bien fait de me pousser à faire ce stage! c’était génial!” C’est exactement ce dont il avait besoin en ce moment”. Autre parent: “On voulait te remercier (notre enfant) est revenu boosté et a passé un très beau moment”…Un petit groupe authentique et attachant (ça c’est mon témoignage :))
j’ai réuni sur ce dessin les témoignages recueillis dans le questionnaire anonyme:
(sessions précédentes) A la question conseillerais tu ce stage? “j’en parle dès la rentrée à mes amis. (..) j’en connais beaucoup à qui il pourrait servir”. A la question: 3 mots pour qualifier ce stage: “enrichissant, intéressant, amusant” “Bienveillance, utile, convivial” “j’ai beaucoup appris sur moi” “enrichissant, sympa, important” “très beau stage, merci” “très bon stage épanouissant et étonnant” “au début gênant, puis découverte, puis fort” “j’ai adoré” “ravi d’avoir fait cette expérience”
“je suis content d’avoir appris toutes ces nouvelles choses qui vont m’aider dans ma vie” “Mon kiff de la journée? avoir imaginé mon avenir” “découvrir l’autohypnose, ça me calme, ça nous rend zen” “je savais pas que tous ces outils existaient!” “Ca fait du bien de parler dans une ambiance bienveillante, au lycée, c’est pas pareil”
Ce programme est construit en partie sur les résultats de la recherche scientifique en psychologie positive et en éducation positive. Je les ai complétés de mon expérience de psychologue, du travail efficace de la visualisation autohypnotique et enrichis d’apports différents en psychologie (Discipline positive, travail des archétypes, gestalt, PNL, analyse transactionnelle, gestion mentale, Intelligence émotionnelle Canada…).
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Deux jours…
A la demande de plusieurs parents inquiets devant leur jeune perdu, mis à mal dans leur confiance en eux. et pour les jeunes que je rencontre en consultation dont j’accueille la faible estime d’eux-mêmes, la pression à paraître, à être le/la “populaire”, à faire bonne façade, dont je constate la souffrance à ne pas s’aimer ni se sentir beaucoup aimé. Alors un petit coup de booster de confiance en soi, d’authenticité et de partage, ouf ça fait du bien! C’est aussi une belle manière de se préparer à la seconde, au lycée”.
AU PROGRAMME
Mieux se connaître par des exercices spécifiques, Comprendre ses émotions, ses besoins et réactions. Evaluer sa motivation et son état d’esprit dans son parcours scolaire et de vie. Trouver ses forces de caractère, travailler ses faiblesses, travailler la confiance en soi par un outil “cerveau droit!”. Apprendre et expérimenter des outils de gestion du stress. Savoir mettre en place un objectif, et se donner les moyens de l’atteindre. Présence à ce qui se passe en soi et dans les relations. Outils d’intelligence relationnelle.
Si il reste un peu de temps : connaissance aussi de soi dans sa manière d’apprendre (outils de gestion mentale)
Témoignages (recueillis oralement ou par questionnaire anonyme de satisfaction)
session 2018: Trois mots pour qualifier ce stage : “découverte, enrichissant, sympa” “on comprend beaucoup de choses sur notre fonctionnement” “nouvelles rencontres” “enrichissant, apprendre, confiance” “se découvrir et découvrir les autres” “L’ambiance est cool” “c’est deux jours très agréable” A la question: conseillerais-tu ce stage à un ami? “oui je le conseillerai pour qu’il essaie de gérer son stress en trouvant plusieurs méthodes et pour sa confiance en soi”. etc…
Quelques témoignages du groupe Janvier à avril 2017, classe de CM2:
“j’ai adoré venir “travaillé” avec toi. On a appris plein de choses: à contrôler la violence…Moi une nuit, j’avais fait un terrible cauchemar. J’ai fait l’exercice que l’on avait fait lors d’une séance. La nuit d’après, je n’ai plus pensé à ce cauchemar. j’ai adoré être avec Raphaëlle” Marine “Le sourire, ça nous fait du bien, quand on sourit on revit toutes les bonnes choses qu’on a vécu autrefois: ferme les yeux et fait un grand sourire, je ne sais pas comment expliquer ce que je ressens mais ça fait un bien fou! Le sourire que tu fais en regardant les autres leur fait aussi du bien alors ils te regarderont et te souriront en retour” Manon “Merci Raphaëlle pour m’avoir aidé par les séances, bisou” Théo
AU PROGRAMME !
Des activités simples, créatives pour booster sa confiance en soi
On démarre! En route pour le bonheur! Ma roue météo . Moi, un super héros? Et des kifs ! Les règles pour bien se disputer. Mes rêves.
Autrement dit : Confiance en soi• Méditation• Gestion des émotions • Travail sur ses forces, son estime de soi, ses capacités de résilience • Questionner ce qui rend heureux • et enfin découvrir des outils de relation aux autres .
Outils de l’éducation positive et de la méditation (et de mon expérience personnelle!)
POUR LES 9-14 ANS
Le cycle complet d’ateliers : pour les 9-12 ans et les 12-14 ans. 120 euros. L’enfant s’engage sur tous les ateliers (dans les limites du possible !). Les ateliers ont lieu le mardi de 17H30 à 18H30. (Minimum 8 participants) Il est possible de créer un groupe à l’école, ou chez soi, à un autre jour, autre créneau horaire.
AU PROGRAMME !
On démarre! En route pour le bonheur! Ma roue météo Moi, un super héros? Et des kifs ! Les secrets des blipoux.
Autrement dit : •la conscience de soi, de ses émotions, de ses besoins, de sa manière d’être au monde • Travail sur ses forces, son estime de soi, ses capacités de résilience • Questionner ce qui rend heureux et les critères de bien–être (résilience du quotidien) • et enfin découvrir des outils de relation aux autres (conflits, pardon..).
Accompagnement aux parents. Au travers des outils de communication bienveillante mais pas que, et de la découverte de ses forces et de ses merveilleuses imperfections. C’est aussi une journée d’ateliers en famille pour prendre le temps de l’essentiel ! Lisez les témoignages de parents!
Être parent, ça se construit!
ci-dessous:
-Stage pour les parents “Prendre confiance en soi pour mieux éduquer”
-Atelier AM et soirée pour la famille
-Atelier familial en individuel
-Ateliers pour les parents
Stage 2 jours: 3 et 4 juin 2019. Arras. On s’inscrit pour les 2 jours. coût: 180 euros. De 9h00 à 16h15. (Min 10 inscrits).Inscription raphaelleboisleux@orange.fr 0683890641
vous souhaitez? vous trouverez!
Le stage se base entres autres sur les outils de la psychologie positive et discipline positive, la méditation bienveillante, les grilles de lecture de l’ennéagramme, des masques defensifs de T.Janssen et des archétypes,la PNL, de Faber et Mazlish, et de mon expérience de thérapeute et de maman…
Témoignages stage 2018, Si vous aviez des mots pour qualifier ce stage: “rassurant, encourageant, très instructif””Formation dynamique et riche””ça fait du bien” “intense” “condensé formidable d’outils quotidien” “concrets””éclairant et positif ” fabuleux, bonheur, beaucoup d’amour””belle découverte, joyeux””très riche, intéressant et pratique”
“Pour quoi travailler sur nos forces, notre communication et notre identité de famille?
“Dans notre culture, particulièrement en France, l’accent est mis sur ce qui ne fonctionne pas. Pourtant les études en psychologie positive montre l’efficacité de construire sur ce qui fonctionne bien, sur ses ressources. Cela renforce la confiance en soi, le sentiment de bien-être et augmente la résilience.Ce temps de famille apprend à partager du bon, dans le respect de chacun des membres et contribue au sentiment de valeur personnel.Parler du bonheur, apprendre la reconnaissance et construire de bonnes relations sont aujourd’hui établies comme des ingrédients incontournables du bonheur.Conscientiser notre identité familiale permet de transmettre des valeurs et de trouver sa place dans le groupe famille.Partager aux autres membres de la famille notre ressenti aide à la connaissance et à la confiance en soi. C’est un travail en profondeur de l’autonomie et du devenir grand”.
Atelier cultivez le bonheur en famille : pour toute la famille (idéal à partir de 5 ans).9 novembre 2019 de 14h30/21h30. Arras. 120 euros. Min 8 familles. Renseignements et inscriptions au 0683890641 raphaelleboisleux@orange.fr
TÉMOIGNAGES
Journées 2017 : “Les enfants m’en ont beaucoup parlé après. C’est vraiment un moment de qualité avec eux” une maman, 25/03/2017 Centre Jeunes dirigeants Côte d’Opale. “Super moment en famille. Ma fille me demande déjà la date de la prochaine journée” une maman. “J’ai aimé de prendre du temps pour parler avec les enfants, et j’ai aimé ce que j’ai entendu” Maman 22/04/2017 Centre Jeunes Dirigeants Arras. “Ça fait du bien de se poser une journée avec ses enfants” un papa 22/04/2017 CJD Arras. Quelques jours plus tard “Merci pour cette journée, est-ce lié depuis la journée famille, les enfants jouent ensemble, c’est comme si faire attention à l’autre avait changé quelque chose, on le refera ensemble à la maison” Des parents..
Journée janv. 2018 : “j’ai aimé partagé avec mes parents de sujets dont on a jamais parlé” ado, journée 2018 “j’ai aimé découvrir l’attention à l’autre ”maman “j’ai aimé voir mes enfants prendre la parole” un papa. “J’ai aimé découvrir mes enfant, les voir sourire, rire ensemble, les voir solidaires. Maman “j’ai aimé l’ambiance bienveillante” un ado.
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Atelier individuel sur demande, 1h30: 120 euros. Renseignements et inscriptions au 0683890641 ou raphaelleboisleux@orange.fr
cf programme ci-dessus en cycle de trois rencontres, encore plus accès sur la communication non violente dans la famille. Petits jeux pour apprendre à gérer les conflits.
Atelier Parent, min 10 participants, coût: 30euros. Arras. renseignements et inscriptions raphaelleboisleux@orange.fr ou 0683890641
“Pas toujours facile l’ambiance à la maison, on peux vite avoir le sentiment d’être toujours sur leur dos, être sans arrêt dans l’exigence éducative, les devoirs, se laver, la table…parler correctement “Fais pas ci-Fais pas ça à dada..”, dans l’anxiété de leur devenir. Dans cet atelier, je vous propose de découvrir des outils pour renforcer chez l’enfant son sentiment d’appartenance à la famille. Pour quoi me direz-vous? pour Jane Nelsen, fondatrice de la Discipline positive, le sentiment d’appartenance est le premier besoin essentiel de l’enfant. L’enfant a besoin de se sentir important dans son groupe familial. Cela l’aide à construire sa confiance en lui et plus tard sa place dans son groupe de pairs. C’est aussi un levier important pour gagner sa coopération. Cet atelier se propose aussi, à l’aide des techniques de Faber et Mazlish, d’explorer les pistes face aux disputes de nos enfants. Puis, nous réfléchirons à comment remplir “leur réservoir d’amour*” et comment nourrir notre amour inconditionnel à leur égard.” Nous parsèmerons ce beau programme d’astuces pour le bonheur en famille.
A bientôt!
*Expression d’Isabelle Filliozat
“J’étais une mère merveilleuse ……….. avant d’avoir mes trois enfants..”
(témoignage extrait de “écouter pour qu’ils vous parlent..” Faber et Mazlisch)
“La boîte à soi propose un cycle d’ateliers pour les “vrais” parents avec une découverte des outils efficaces de l’éducation positive, de Faber et Mazlish et de discipline positive. Pourquoi “les vrais parents”? il me semble que jamais dans l’histoire de l’humanité, il n’a été demandé autant aux parents. Les vrais parents, c’est vous, c’est moi avec nos forces et nos faiblesses. Il n’existe aucune recette pour être parent. Il n’y a aucun parent parfait. Notre façon d’être père ou mère est liée à notre personnalité, notre histoire. Cependant des outils existent qui facilitent la communication et la prise en compte du vécu du parent et de l’enfant.
Ces ateliers ont pour but de faire découvrir des outils récents et efficaces de parentalité positive mais aussi de travailler à découvrir vos forces spécifiques et d’accepter vos merveilleuses imperfections”
Cycle complet 10 ateliers “Pour les vrais parents”: Atelier de 2h. Le mardi soir (20H-22H à partir du 19 décembre) ou en journée (26/01; les autres dates à définir en groupe). Minimum de 8 participants. 200 euros, (L’engagement se fait sur le cycle d’atelier).
AU PROGRAMME!
Les principes de l’éducation bienveillante/ Les émotions et besoins de nos enfants, les croyances comment les accueillir et les aider? / Comment lui donner confiance en?/ Son langage de l’amour?/ Comment améliorer l’ambiance à la maison?/ Comment susciter la coopération et viser l’autonomie ?/Prendre confiance en soi pour mieux éduquer, quelles sont mes forces?/ça va barder! Punir?/Les disputes, c’est usant!/ L’estime de soi de mon enfant/Mon enfant est-il enfermé dans une case, dans un rôle? / et mes émotions de parent alors?/La fermeté.
Pour aller plus loin: 5 ateliers de plus..(suite aux 10 premiers ateliers ou d’un cycle Faber et Mazlish précédemment suivi). Coût 100euros (2h le mardi soir ou en journée: date à définir).
AU PROGRAMME!
Mon style parental en fonction de ma personnalité, nos peurs de parents, accepter ma manière d’être parent / Mieux comprendre les comportements inacceptables ou regarder en dessous de l’iceberg/ Le fonctionnement et les règles familiales/ Les temps d’échanges familiaux en psychologie positive .
Les thèmes abordés peuvent évoluer en fonction de vos demandes spécifiques. Les outils utilisés sont issus des ateliers de Faber et Mazlish “écouter les enfants pour qu’ils vous parlent , leur parler pour qu’ils vous écoutent), de l’éducation positive, de la discipline positive, des découvertes sur le fonctionnement du cerveau, de mon expérience de psychologue, thérapeute et surtout des mes merveilleuses imperfections de maman.
Témoignages Session 2011/2012/2013
“Ce qui m’a étonné, c’est que rien que le premier atelier sur l’accueil des émotions, changer déjà la manière de réagir de mon fils.” Un papa, groupe de Bapaume. 2011
“Pour moi, c’est un groupe qui a modifié ma façon de voir la relation à mes enfants.” Un papa. groupe de Bapaume. 2012
“C’était bien et riche”, une maman, groupe de Saint Pol sur Ternoise.2013
c’est aussi des conférences, des ateliers divers…..
Les compétences de vie, ça s’enseigne!
Un programme innovant pour l’école.
Thème sur demande
AU PROGRAMME!
-être positif ! Amener bonheur et confiance entre les murs de l’école/collège/lycée.
-Parler des émotions et cultivez les émotions positives dans l’école/collège/lycée.
-Pensez positif!
-Motivez vos élèves!.
-Développez l’intelligence relationnelles de vos élèves.
Les élèves français sont les champions du mal-être avec un taux de dépression de 7,5%à 9 % (selon les études). Pourtant, il est prouvé qu’être heureux augmente la réussite scolaire et professionnelle.
Le but de ce programme : C’est d’augmenter les compétences de vie des enfants, leur résilience, leur conscience d’eux-mêmes, leur bien-être. Et aussi améliorer le climat de classe : respect, gratitude, gentillesse, empathie, pardon, écoute, active, autonomie.
Les origines du programme!!!!!!!!!!!!!! ? Il a été créé dans des écoles anglaises par Lucy Ryan et Ilona Boniwell, docteur en psychologie. En France, Laure Reynaud, enseignante et Ilona Boniwell créent SCHOLAVIE où elles traduisent, enrichissent ce programme aux écoles françaises. Testé et validé scientifiquement en Angleterre sur les émotions positives, en cours d’expérimentation à Bordeaux. Il a été prouvé que de tels interventions ont un impact positif sur la créativité, l’engagement, la motivation, l’espoir, l’assiduité, l’estime de soi et sur les résultats scolaires et attentes scolaires. Et enfin sur le comportement de l’enfant dans la classe.
Découvrir des outils de communication efficaces, mieux se connaître et renforcer son couple….et le faire pétiller aussi 🙂
Être en couple, ça se construit!
“Comment mieux communiquer ensemble? Comment mieux dialoguer pour que ces échanges soient constructifs et bons? Comprendre les réactions de l’uns et de l’autre? Comprendre les mécanismes du couple et des trucs pour sortir de la routine? Dans cet atelier vous pourrez découvrir les forces spécifiques de votre couple et créer une plus grande force d’intimité et de complicité. Il n’existe pas de couple idéal pour qui l’entente est facile pour toujours. Pour que le couple devienne le lieu d’épanouissement de deux individus, avec des histoires différentes, ça nécessite de prendre un peu de temps pour le construire et trouver sa manière …de faire couple !”
Une après-midi pour son couple “Faire pétiller son couple”: Le 18 janvier après-midi de 15h00 /20h. 130 euros /couple. (Minimum de 6 couples participant). renseignements et inscription au 0683890641 raphaelleboisleux@orange.fr
AU PROGRAMME!
Le tu qui tue, Ensemble mais différents, Les rôles, Comment dire ses besoins sans s’attaquer ? Savoir se pardonner, Les outils de communication, Les désirs, Nos valeurs, Les attentes, L’insatisfaction, Ce que veulent les femmes ! Ce que veulent les hommes ! Une vie à réussir ! Et ils vécurent heureux et eurent de beaux enfants ? Les tensions, Nos modèles parentaux…Et bien d’autres choses encore.
Nos forces, nos valeurs, les trucs du couple/la routine, le dialogue dans le conflit, nos projets….
Cet après-midi riche d’outils et de réflexions a pour but de se recentrer sur son couple et d’apprendre à se parler pour s’entendre. Ce n’est pas conçu pour être un lieu thérapeutique de couple (si besoin contacter IMAGO thérapeute de couple).
Le déroulement : Alternance de temps d’explications, et de temps de partage au sein du couple. Par confidentialité des échanges, les temps de partage sont prévus au sein du couple et non en groupe. Chacun reste libre d’intervenir quand il le souhaite à d’autres moments.
Les outils utilisés sont issus de la psychologie positive, des thérapies humanistes, des formidables outils développés par l’association IMAGO, de mon expérience de psychologue et de couple!
Pas de témoignage pour l’instant, car cet atelier n’a pas encore eu lieu. j’ai hâte de le vivre!
Le Neurofeedback est un réentrainement des ondes cérébrales pour permettre de traiter, diminuer des symptômes, souffrances, difficultés ou pour augmenter les performances!
“Pour quoi le neurofeedback quantitatif? je me suis formée au neurofeedback quantitatif car je m’apercevais tant personnellement que professionnellement que certaines difficultés, certains symptômes nécessitaient une autre approche pour bouger. Que parfois comprendre le sens ne suffisait pas à obtenir le mieux être désiré. Cette méthode, très différente de toute ce que j’ai pu expérimenter jusqu’alors, ne travaille pas sur votre représentation du monde, votre représentation de vous même, vos croyances, vos injonctions ou vos freins. Non, cette méthode travaille sur l’aspect corporel de la souffrance, c’est à dire l’engramme physique de la souffrance psychique. C’est une autre porte d’entrée, une autre clés d’accès que la psychothérapie. Elle peut être complémentaire, ou se suffire à elle-même. Le neurofeedback quantitatif s’appuie sur des résultats prouvés scientifiquement dans certains types de troubles ou pour augmenter certaines performance. A titre personnel, je trouve que c’est un domaine passionnant, intéressant et novateur”.
Le Neurofeedback par Électroencéphalogramme quantitatif (EEGq), est un outil d’évaluation et de remédiation validé, pouvant être proposé dans le cadre de multiples dysfonctionnements et/ou pathologies cérébrales.
C’est un entraînement visant à modifier le fonctionnement de certaines ondes cérébrales via des mécanismes de neuroplasticité. Il permet de normaliser l’activité cérébrale ou en augmenter l’efficacité. Le mécanisme d’action du Neurofeedback est un processus d’apprentissage basé principalement sur le conditionnement opérant.
Les protocoles en neurofeedback sont personnalisés en fonction du fonctionnement cérébral de chaque personne. Une évaluation initiale est donc nécessaire, afin de proposer un protocole d’entrainement individualisé.
Durant les séances d’entrainement, un électroencéphalogramme (EEGq) permet au patient de prendre conscience du fonctionnement de ses ondes cérébrales et un retour -feedback- lui est transmis, lui permettant de corriger l’activité en temps réel. Ce procédé a pour objectif d’avoir un effet positif et durable sur l’activité souhaitée qu’elle soit cognitive, d’autorégulation émotionnelle, ou comportementale.
Cette technique thérapeutique utilise donc un processus d’apprentissage pour entraîner le cerveau à modifier puis automatiser de nouvelles activités cérébrales. Elle est possible car il existe une plasticité cérébrale. Concrètement, le cerveau est capable de remodeler ses connexions en fonction de l’environnement et des expériences vécues. La plasticité c’est de créer de nouveaux chemins de fonctionnement ou renforcer des chemins existants pour améliorer les capacités cérébrales. Pour ce faire, le neurofeedback s’appuie sur des exercices visuels et auditifs.
Le neurofeedback demande un entrainement régulier et intensif sur une période de quelques semaines (minimum deux séances par semaine). Le nombre de séance est en fonction du protocole personnalisé. Il faut compter 20 à 30 (+/-5) séances d’entraînement pour un adulte et 30 à 40 (+/- 5) pour un enfant
Pour qui et pour quoi?
Des patients de tout âge.
Le processus ?
Etape 1 : L’Évaluation
Entretien clinique et Évaluation par EEGq (cartographie cérébrale). Les électrodes mesurent l’activité électrique du cerveau. Elles repèrent et localisent les atypies de fonctionnement.
L’analyse et l’élaboration du protocole d’entraînement se fait en collaboration avec l’institut Neurosens Canada.
Suite à cette première phase, nous avons donc un protocole d’entrainement personnalisé en fonction de la cartographie du fonctionnement de vos ondes cérébrales et en fonction de vos besoins.
Phase d’entraînement permettant d’engager la normalisation de l’activité cérébrale. Au terme de cette phase de « normalisation » une nouvelle évaluation par EEGq est effectuée afin d’objectiver la nature et l’étendue des bénéfices de la prise en charge.
La séance dure environ 1 heure avec une dizaine de séquences alternées par un coaching. Au cours de ce protocole proposé à raison de 2 à 3 séances par semaine, des électrodes sont placées sur le patient permettant un suivi en direct des efforts et résultats. Concrètement vous êtes devant une vidéo avec un casque diffusant une musique. Sur une autre partie de l’écran vous avez un retour (un feedback)de vos ondes cérébrales selon l’activité ciblée. Le film ou la musique s’arrêtent quand vous n’êtes pas dans l’état souhaité. Votre cerveau, par ce mécanisme de conditionnement, va réapprendre l’état cérébral souhaité.
Selon les protocoles, le nombre de séance peut varier entre 25 à 45 séances. Au minimum deux fois par semaine. En effet, pour “activer” la neuroplasticité, le cerveau a besoin d’une régularité et d’une certaine intensité.
Puis, différentes tâches sont intégrées au protocole afin de permettre une généralisation des processus de normalisation. Au terme de cette phase de « généralisation » une nouvelle évaluation par EEGq est effectuée afin d’objectiver la nature et l’étendue des bénéfices de la prise en charge.
Une méthode sans douleur et non-invasive
Tarifs ?
Si la personne le souhaite, une évaluation de suivi post-entrainement peut être faite 1 an plus tard: 115 euros.
Pour en savoir +
U. Corydon Hammond est un professeur et psychologue affilié à l’école de médecine de l’université de l’Utah. Adresse de correspondance : D. Corydon Hammond, médecine physique et réadaptation, école de médecine,
Université de l’Utah, 30 North 1900 East, Salt Lake City, UT 84132-2119
Journal de Neurothérapie, Vol. 10 (4) 2006
RÉSUMÉ. Le Neurofeedback (la rétroaction biologique EEG) est né à la fin des années 1960 comme méthode de traitement des ondes cérébrales à travers le conditionnement opérant. Dès lors, un grand nombre d’études ont été cumulées sur l’efficacité du neurofeedback dans le traitement de l’épilepsie non contrôlée, du TDA / TDAH, de l’anxiété, de l’alcoolisme, du syndrome de stress post-traumatique et des traumatismes crâniens légers. Les études fournissent également des signes encourageants selon lesquels le neurofeedback offre une alternative de traitement pour une utilisation sur les troubles d’apprentissage, les accidents vasculaires cérébraux, la dépression, la fibromyalgie, l’autisme, l’insomnie, les acouphènes, les maux de tête, les problèmes d’équilibre physique, et pour l’amélioration des performances de pointe. À un moment où un nombre croissant de personnes sont préoccupées par les effets négatifs liés au fait de compter uniquement sur les traitements médicamenteux, le neurofeedback peut offrir une alternative de traitement supplémentaire pour de nombreuses maladies.
Cet article aide le lecteur à comprendre comment le neurofeedback fonctionne, comment l’évaluation permet au neurofeedback d’être individualisé et examine brièvement des preuves pour le traitement par neurofeedback de nombreuses maladies. Le public est averti que, lors de son choix d’un praticien pour le traitement des types de maladies médicales, psychiatriques et psychologiques citées ci-dessus, celui-ci doit être autorisé pour la pratique idéalement et être aussi certifié par un organisme légitimement reconnu.
MOTS-CLÉS. Neurofeedback, rétroaction biologique EEG, TDA/TDAH, PTSD, troubles de l’apprentissage, autisme, anxiété, alcoolisme.
Introduction
À la fin des années 1960 et 1970, les chercheurs ont découvert qu’il était possible de reconditionner, ou apprendre différents schémas d’ondes cérébrales. Certains de ces travaux ont commencé par un suivi pour augmenter l’activité de l’onde cérébrale alpha afin d’améliorer la relaxation, tandis que d’autres travaux provenant de l’UCLA se sont concentrés sur l’épilepsie incontrôlée. Ce traitement fait sur les ondes cérébrales est appelé Neurofeedback ou rétroaction EEG. Avant de discuter de cela plus en détails, permettez-moi de vous fournir des informations préliminaires sur les ondes cérébrales. Les ondes cérébrales se produisent à des fréquences différentes. Certaines sont rapides et certaines sont assez lentes. Les noms classiques de ces bandes EEG sont delta, thêta, alpha et bêta. Elles sont mesurées en cycles par seconde ou hertz (Hz).
Les ondes cérébrales bêta sont petites, plus rapides (au-dessus de 13Hz) et associées à un état d’activité intellectuelle et mentale et une concentration axée vers l’extérieur. Ceci est fondamentalement un état de vigilance « frais ». Les ondes cérébrales alpha (8 à 12 Hz) sont plus lentes et plus importantes. Elles sont associées à un état de relaxation et représentent essentiellement le cerveau se déplaçant dans un engrenage de ralenti, détendu et un peu dégagé, en attendant de répondre en cas de besoin. Si quelqu’un ferme simplement les yeux et commence à imaginer quelque chose de paisible, en moins d’une demi-minute, les ondes cérébrales alpha commencent à augmenter. Ces ondes cérébrales sont particulièrement importantes dans le tiers arrière de la tête. Les ondes cérébrales thêta (4 à 8 Hz) représentent généralement un état d’esprit de rêverie planante qui est associé à l’inefficacité mentale. À des niveaux très lents, l’activité cérébrale des ondes thêta est un état très détendu, ce qui représente la zone crépusculaire entre la veille et le sommeil. Les ondes cérébrales delta (5 à 3,5 Hz) sont les plus lentes, elles ont la plus haute amplitude (magnitude), et elles représentent ce que nous éprouvons quand nous sommes endormis. En général, les différents niveaux de conscience sont associés aux états des ondes cérébrales dominants.
Cependant, chacun d’entre nous a toujours un certain degré de ces bandes d’ondes cérébrales présentes dans différentes parties de notre cerveau. Les ondes cérébrales delta se produiront également, par exemple, lorsque les zones du cerveau vont « hors-ligne » pour se nourrir et les deltas sont également associées à des troubles d’apprentissage. Si quelqu’un devient somnolent, il y a plus d’ondes cérébrales delta et de thêta lentes qui s’installent, et si elles sont un peu inattentives aux choses extérieures et leur esprit est errant, il y a plus de thêta présentes. Si quelqu’un est vraiment très anxieux et tendu, une fréquence trop élevée d’ondes cérébrales bêta est souvent présente. Les personnes présentant un déficit de l’attention / une hyperactivité (TDA, TDAH), des traumatismes crâniens, des accidents vasculaires cérébraux, une épilepsie, un syndrome de fatigue chronique, et une fibromyalgie, ont souvent tendance à avoir un excès d’ondes lentes (habituellement thêta et parfois un excès d’alpha) présentes. Quand une quantité excessive d’ondes lentes est présente dans les parties exécutives (frontales) du cerveau, il devient difficile de contrôler l’attention, le comportement et/ou les émotions. Ces personnes ont généralement des problèmes de concentration, de mémoire, de contrôle de leurs impulsions et de leurs humeurs, ou d’hyperactivité. Elles ne peuvent pas très bien se concentrer et leur efficacité intellectuelle est diminuée.
Le traitement avec le neurofeedback est la rétroaction biologique des ondes cérébrales. Pendant un suivi typique, deux électrodes sont placées sur le cuir chevelu et une ou deux sont habituellement mises sur les oreilles. Ensuite, l’équipement électronique de haute technologie fournit une rétroaction audio et visuelle instantanée en temps réel de votre activité cérébrale. Les électrodes mesurent les schémas électriques provenant du cerveau, comme un médecin écoute votre cœur à la surface de votre peau. Aucun courant électrique n’est transmis à votre cerveau. L’activité électrique de votre cerveau est captée par les électrodes et transmise à l’ordinateur … elle est enregistrée.
Habituellement, une personne ne peut pas influencer de manière fiable ses schémas d’ondes cérébrales parce qu’elle n’en n’est pas consciente. Toutefois, lorsque vous pouvez voir vos ondes cérébrales sur un écran d’ordinateur quelques millièmes de seconde après qu’elles se produisent, cela vous donne la possibilité de les influencer et de les modifier. Le mécanisme d’action est le conditionnement opérant. Nous reconditionnons et recyclons littéralement le cerveau. Dans un premier temps, les changements sont de courte durée, mais ils deviennent progressivement plus durables. Avec le traitement par le Neurofeedback, la rétroaction continue, l’encadrement et la pratique, des schémas d’ondes cérébrales plus saines peuvent généralement être appris par la plupart des gens. C’est un peu comme faire de l’exercice ou faire de la thérapie physique avec le cerveau, en améliorant la flexibilité et le contrôle cognitif. Ainsi, si le problème provient d’un TDA / TDAH, un trouble d’apprentissage, un accident vasculaire cérébral, un traumatisme crânien, des déficits suite à une neurochirurgie, une épilepsie non contrôlée et un dysfonctionnement cognitif associé au vieillissement, la dépression, l’anxiété, le trouble obsessionnel-compulsif, ou d’autres maladies liées au cerveau, le traitement par le Neurofeedback offre des possibilités supplémentaires de rééducation des schémas d’activité électrique dans le cerveau. La chose la plus intéressante est que même quand un problème est de nature biologique, il existe désormais une alternative de traitement aux médicaments. Le neurofeedback est de plus en plus utilisé également pour faciliter la performance de pointe chez les individus « normaux » et les athlètes.
FrankH. Duffy, MD, professeur et neurologue pédiatrique à la Harvard Medical School, a déclaré dans l’éditorial du numéro de janvier 2000 de la revue Electro-encéphalographie clinique que la littérature scientifique suggère maintenant que le neurofeedback « devrait jouer un rôle thérapeutique majeur dans de nombreux domaines difficiles. À mon avis, si un traitement a démontré un large spectre d’efficacité, il serait universellement accepté et largement utilisé » (p. v). « C’est un domaine qui doit être pris au sérieux par tous » (p. vii).
Certaines personnes souhaitent que d’une certaine manière, elles puissent tout simplement acheter leur propre équipement de neurofeedback et s’entraîner elles-mêmes ou entraîner leurs enfants. Le neurofeedback n’est tout simplement pas aussi simple que cela. Il faut avoir des connaissances spécialisées concernant le fonctionnement du cerveau et être bien mieux informé que sur simplement comment faire fonctionner l’équipement et le logiciel. Pour que le traitement soit réussi et les réactions négatives évitées, il est d’une importance vitale de réaliser une évaluation et que le traitement soit individualisé pour les schémas d’ondes cérébrales uniques et les symptômes de chaque personne. Tout le monde n’a pas besoin du même suivi aux mêmes endroits, et la recherche a montré que les ondes cérébrales d’une personne ne peuvent pas simplement être distinguées par l’observation des symptômes comportementaux de la personne. Par conséquent, avant de faire un traitement par le Neurofeedback, les cliniciens légitimes voudront poser des questions sur l’histoire clinique du patient.
Dans certains cas, ils peuvent faire des tests neuropsychologiques ou psychologiques. Les cliniciens compétents réaliseront également une évaluation minutieuse et examineront les schémas d’ondes cérébrales. Certains praticiens peuvent faire une évaluation en plaçant une ou deux électrodes sur le cuir chevelu et en mesurant les ondes cérébrales dans un nombre limité de zones. D’autres cliniciens effectuent des tests plus complets en utilisant une carte du cerveau par électro-encéphalogramme quantitatif (EEGQ) où 19 électrodes ou plus sont placées sur le cuir chevelu.
Un QEEG est un outil pour évaluer objectivement et scientifiquement le fonctionnement des ondes cérébrales d’une personne. La procédure prend habituellement environ 1 heure et demie. Généralement, elle consiste à placer un calot ajusté sur la tête, qui contient de petites électrodes pour mesurer l’activité électrique provenant du cerveau. Cela se fait pendant que le patient se repose tranquillement les yeux fermés, les yeux ouverts, et parfois au cours d’une tâche telle que la lecture. Ensuite, nous passons par une procédure longue pour éliminer tous les artefacts qui se sont produits lorsque les yeux se déplaçaient ou clignotaient, si le patient a légèrement bougé dans le fauteuil, ou resserré sa mâchoire ou plissé son front. Les données des ondes cérébrales qui ont été recueillies sont ensuite comparées à une grande base de données normative sophistiquée qui nous montre comment le cerveau devrait fonctionner à l’âge du client. Cette procédure d’évaluation nous permet de déterminer ensuite d’une manière objective scientifique si les ondes cérébrales d’un patient sont significativement différentes de la normale, et si oui, comment elles diffèrent.
Au cours des années 1970 et 1980, il a commencé à y avoir beaucoup d’expérimentation avec le QEEG. Le QEEGa montré une capacité scientifiquement documentée pour aider à l’évaluation des maladies telles qu’une lésion cérébrale traumatique légère, un TDA/TDAH, les troubles d’apprentissage, la dépression, le trouble obsessionnel-compulsif, l’anxiété, le trouble panique, et une variété d’autres maladies (y compris l’autisme, la schizophrénie, un accident vasculaire cérébral, l’épilepsie et la démence ; Clarke, Barry, McCarthy, & Selikowitz, 2001 ; Hoffman et al., 1999 ; Hughes & John, 1999 ; Thatcher et al, 1999). Le QEEG a même été en mesure de prédire les résultats du traitement des interventions avec des maladies telles que le TDA/TDAH (Suffin & Emory, 1995), l’alcoolisme et la toxicomanie (Bauer, 1993,2001 ; Prichep, Alper, Kowalik, et Rosenthal, 1996 ; Prichep, Alper, Kowalik, John et al, 1996 ; Winterer et al, 1998).
L’American Psychological Association a également approuvé le QEEG comme étant dans le cadre de la pratique des psychologues qui sont formés de manière appropriée, et l’ISNR a de même approuvé son utilisation par des professionnels qualifiés de soins de santé qui sont formés de manière appropriée.
Les évaluations EEG et QEEG aident à comprendre s’il existe des anomalies dans le fonctionnement du cerveau que le Neurofeedback EEG pourrait traiter de manière utile, et il nous permet d’individualiser le neurofeedback aux problèmes spécifiques de chaque patient. Par exemple, la recherche scientifique a identifié un minimum de trois principaux sous-types de TDA/TDAH, dont aucun ne peut être diagnostiqué à partir de l’observation seule du comportement de la personne, et dont chacun nécessite un protocole de traitement différent.
Une fois que l’évaluation est terminée et que les objectifs du traitement ont été mis en place, deux électrodes sont généralement placées sur le cuir chevelu et une ou plusieurs sur les oreilles pour les sessions de formation de neurothérapie. La personne en suivi regarde ensuite un affichage sur l’écran d’ordinateur et écoute des tonalités audio, parfois tout en faisant une tâche telle que la lecture. Ces sessions de suivi sont conçues pour enseigner à la personne à changer lentement leur schéma d’ondes cérébrales. Avec la rétroaction continue, l’encadrement et la pratique, les schémas d’ondes cérébrales saines sont maintenus. Certaines personnes peuvent avoir besoin d’apprendre à augmenter la vitesse ou la taille des ondes cérébrales dans des zones spécifiques du cerveau. D’autres personnes ont besoin de suivi pour diminuer la vitesse et l’amplitude de leurs ondes cérébrales. Le traitement avec le neurofeedback peut ne nécessiter que 15 à 20 sessions pour l’anxiété ou l’insomnie, mais avec d’autres maladies telles que le TDA/TDAH ou des difficultés d’apprentissage, elle impliquera 40 à 50 sessions le plus souvent. Chaque séance dure normalement 40 à 60 minutes environ. Dans le traitement des maladies très complexes ou lorsque des troubles ou des diagnostics multiples sont présents, un clinicien ne peut pas toujours prévoir en avance le nombre de séances de traitement pouvant être nécessaires.
Depuis la fin des années 1970, des recherches ont été effectuées sur le neurofeedback, il a été amélioré et testé sur le TDA /TDAH (trouble de l’attention et hyperactivité) et les troubles de l’apprentissage. Le travail clinique du Dr Joel Lubar (par exemple, Lubar, 1995, 2003) et ses collègues de l’université du Tennessee, ainsi que beaucoup d’autres, ont démontré à maintes reprises qu’il est possible d’apprendre au cerveau des bons comportements. En fait, une étude récente de Levesque, Beauregard, et Mensour (2006) a documenté avec l’IRM fonctionnelle de neuro-imagerie les changements positifs dans le fonctionnement du cerveau chez les enfants atteints de TDAH après le traitement par neurofeedback. Ceci et la recherche citée ci-dessous fournissent tous un appui solide qui démontre l’efficacité du Neurofeedback dans le traitement du TDA/TDAH. Considérant que le suivi du traitement à l’étude moyen par médicaments stimulants dure seulement trois semaines, avec seulement deux études de suivi à long terme sur l’utilisation de médicaments qui ont duré 14 mois ou plus, le Dr Lubar (1995) a publié des suivis à 10 ans sur ces cas et a constaté que chez environ 80 % des patients, le neurofeedback peut améliorer sensiblement les symptômes du TDA et du TDAH, et que ces changements sont maintenus. Rossiter et Lavaque (1995) ont constaté que 20 séances de neurofeedback produisent des améliorations comparables dans l’attention et la concentration par rapport à la prise de Ritaline. Fuchs, Birbaumer, Lutzenberger, Gruzelier, et Kaiser (2003) et Rossiter (2005) ont également démontré que le neurofeedback a produit des améliorations comparables par rapport à la Ritaline. Dans un suivi à un an avec une étude de groupe témoin, Monastra, Monastra et George (2002) ont constaté que le neurofeedback a produit des améliorations supérieures par rapport à la Ritaline, même lorsque le médicament a été arrêté.
Les médicaments comparés au neurofeedback
En comparaison avec le neurofeedback, une méta-analyse (Schachter, Pham, King, Langford, & Moher, 2001) des études contrôlées randomisées de traitement par médicaments pour le TDA / TDAH a conclu que les études étaient de mauvaise qualité, ont eu un fort biais de publication (ce qui signifie que la compagnie pharmaceutique a financé des études qui ont échoué à soutenir l’efficacité de leur produit tendant à ne jamais être soumises pour publication), et ont souvent produit des effets secondaires. Ils ont conclu que les effets à long terme (au-delà de l’effet placebo) durant au-delà d’une période de suivi de quatre semaines ne sont pas démontrés. Une revue complète récente (Project de revue de l’efficacité du médicament, 2005) du traitement médicamenteux pour le TDA/TDAH a conclu qu’il n’y avait aucune preuve de l’innocuité à long terme des médicaments utilisés dans le traitement du TDA/TDAH, et que les preuves de bonne qualité font défaut sur le fait que le traitement médicamenteux améliore les résultats scolaires ou les comportements à risque sur une base à long terme, ou chez les adolescents ou les adultes. Par rapport aux résultats de cette revue, l’une des études les plus récentes (El-Zein et al., 2005) a conclu que « le manque de recherche sur les effets à long terme de l’utilisation du méthylphénidate [Ritaline] chez l’homme garantit une grande préoccupation » (p. 7) parce qu’ils ont découvert qu’après seulement trois mois de traitement par Ritaline, 100 % des enfants ont fait l’expérience d’aberrations chromosomiques qui pourraient augmenter le risque de cancer, tout comme les dommages génétiques qui ont été trouvés chez les utilisateurs adultes de méthamphétamine (Li, Hu, Chen, et Lin, 2003).
À la lumière de ces résultats, le neurofeedback fournit une alternative de traitement importante, non-invasive, et relativement sans effet secondaire pour le TDA/TDAH. À long terme, il est également très rentable. Certaines personnes se disent préoccupées par le coût du neurofeedback qui est supérieur à la dépense impliquée dans le traitement médicamenteux. Cependant, la recherche a montré que les coûts associés au traitement médicamenteux sont en réalité très importants. Par exemple, une étude (Marchetti et al., 2001) sur six médicaments différents pour le TDA/TDAH a constaté que le coût moyen par patient en âge d’aller à l’école était de 1678 dollars américains chaque année. Une autre étude (Swensen et al., 2003) a examiné les coûts des soins de santé chez plus de 100 000 familles où un TDAH était présent ou non. Ils ont constaté que, dans les familles où un membre était atteint de TDAH, les coûts directs des dépenses de soins de santé, ainsi que les coûts indirects, (tels que la perte de travail) étaient plus élevés de 1288 dollars américains par an en moyenne pour les autres membres de la famille (qui n’ont pas de TDA/ TDAH) en comparaison avec les membres des familles où le TDAH n’était pas présent. Cela signifie que le coût des médicaments cités ci-dessus, combiné avec les coûts indirects annuels pour une famille avec deux enfants, dont l’un avait le TDAH, serait de 5542 dollars américains.
En ce qui concerne les troubles de l’apprentissage, Fernandez et al. (2003) ont démontré dans une étude contrôlée par placebo que le neurofeedback était un traitement efficace. D’autres documents sur la valeur du neurofeedback sur les troubles de l’apprentissage ont également été publiés (Orlando et Rivera, 2004 ; Tansey, 1991 ; Thornton & Carmody, 2005).
L’entraînement avec le neurofeedback pour le TDA/TDAH se trouve souvent associée à une diminution de l’impulsivité / l’hyperactivité, une stabilité accrue de l’humeur, des habitudes de sommeil améliorées, une augmentation de la durée d’attention et de concentration, une amélioration des résultats scolaires et une augmentation de la rétention et de la mémoire. Ce qui est fascinant, est que chaque étude sur le TDA/TDAH ou les troubles de l’apprentissage qui a évalué le QI avant et après le traitement a constaté que le QI augmente après le suivi par neurofeedback. Ces améliorations ont varié d’une moyenne de 9 points d’amélioration du QI dans une étude (Linden, Habib, & Radojevic, 1996), à une amélioration moyenne de 12 points d’amélioration du QI dans une étude réalisée par Thompson et Thompson (1998), une moyenne de 19 points de QI dans une autre étude (Tansey, 1990), et même jusqu’à une augmentation moyenne de 23 points de QI dans une étude réalisée par Othmer, Othmer et Kaiser (1999).
Les crises épileptiques incontrôlées ont également été traitées efficacement en utilisant le Neurofeedback. La recherche dans ce domaine a commencé au début des années 1970, et elle est vaste et rigoureuse, y compris dans les études croisées, en aveugle, contrôlées par placebo (revu dans Sterman, 2000). Le neurofeedback a été jugé utile sur toutes sortes d’épilepsie, y compris les crises grand mal, partielles complexes, et petit mal (absence). Bien que la plus grande proportion de patients épileptiques soit adéquatement contrôlée par des médicaments, la plupart des personnes qui ont été traitées avec le neurofeedback dans les études de recherche ont été parmi les patients épileptiques les plus graves, où la thérapie médicamenteuse anticonvulsante était incapable de contrôler leurs crises. Cependant, même dans ce groupe de patient le plus sévère, la recherche a révélé que le traitement avec le neurofeedback produit en moyenne une réduction de 70 % des crises. Dans ces cas sévères d’épilepsie médicalement intraitables, le neurofeedback a été en mesure de faciliter une plus grande maîtrise des crises chez 82 % des patients, ce qui réduit souvent le niveau de médicaments nécessaire, et ce qui peut être très positif compte tenu des effets négatifs à long terme de certains médicaments. Cependant, de nombreux patients peuvent encore avoir besoin de rester à un certain niveau de médicaments après le neurofeedback. Walker et Kozlowski (2005) ont rapporté que 10 cas consécutifs et 90 % n’avaient pas de crise après le neurofeedback, bien que seulement 20 % ont pu cesser de prendre des médicaments.
Des études sur les résultats du traitement par neurofeedback des traumatismes crâniens fermés et ouverts commencent également à être vues désormais (Ayers, 1987, 1991, 1999 ; Bounias, Laibow, Bonaly, & Stubblebine, 2001 ; Bounias, Laibow, Stubbelbine, sol sablee, & Bonaly 2002 ; Byers, 1995 ; Hoffman, Stockdale, Hicks, & Schwaninger, 1995 ; Hoffman, Stockdale, & Van Egren, 1996a, 1996b ; Keller, 2001 ; Laibow, Stubblebine, sol sablee, & Bounias, 2001 ; Shoenberger et al., 2001 ; Thornton, 2000 ; Tinius & Tinius, 2001), ainsi que d’un AVC (Ayers, 1981, 1995a, b, 1999 ; Bearden, Cassisi, & Pineda, 2003 ; Putnam, 2001 ; Rozelle & Budzynski, 1995 ; Wing, 2001), mais des recherches doivent continuer à être faites dans ces domaines. On estime que le neurofeedback offre un traitement supplémentaire précieux pour aider à la réadaptation.
Les enquêtes sur l’effet de l’EEG sur des alcooliques (et des enfants d’alcooliques) ont démontré que, même après des périodes prolongées d’abstinence, ils ont des niveaux inférieurs d’ondes alpha et thêta et un excès d’ondes cérébrales rapides. Cela suggère que les alcooliques et leurs enfants ont tendance à être connecté différemment des autres personnes, il est donc difficile pour eux de se détendre. Cependant, suite à la consommation d’alcool, les niveaux des ondes cérébrales alpha et thêta augmentent. Ainsi, les personnes ayant une prédisposition biologique à développer un alcoolisme (et leurs enfants) sont particulièrement vulnérables aux effets de l’alcool car, sans le savoir, les alcooliques semblent essayer l’automédication dans un effort pour traiter leur propre pathologie du cerveau. L’état mental de détente qui se produit après la consommation d’alcool se renforce fortement chez eux à cause de leur schéma d’activité cérébrale sous-jacent. Plusieurs études montrent maintenant que le meilleur indicateur de rechute est la quantité excessive d’activité des ondes cérébrales bêta qui est présente chez les alcooliques et les toxicomanes de cocaïne (Bauer, 1993, 2001 ; Prichep, Alper, Kowalik, et Rosenthal, 1996 ; Prichep, Alper, Kowalik, John et coll., 1996 ; Winterer et al, 1998).
Récemment, l’entraînement avec le neurofeedback pour enseigner aux alcooliques comment parvenir à réduire le stress et à atteindre des états de détente profonde grâce à l’augmentation des ondes cérébrales alpha et thêta et réduire les ondes cérébrales bêta rapides, a démontré un potentiel prometteur en tant que complément au traitement de l’alcoolisme. Peniston et Kulkosky (1989) ont utilisé un tel suivi dans une étude avec des alcooliques chroniques par rapport à un groupe témoin non alcoolique et un groupe témoin d’alcooliques recevant un traitement traditionnel. Les alcooliques recevant 30 séances de traitement des ondes cérébrales ont démontré une augmentation significative du pourcentage de leur EEG qui était dans les fréquences alpha et thêta, et l’augmentation des amplitudes du rythme alpha. Le groupe de traitement de rétroaction biologique EEG a également démontré de fortes réductions de la dépression par rapport aux témoins. Les alcooliques dans le traitement standard (traditionnel) ont montré une élévation significative des taux de bêta-endorphines sériques (un indice de stress et une prise de stimulant de calorie [par exemple, l’éthanol]), tandis que ceux avec suivi des ondes cérébrales ajouté à leur traitement n’a pas démontré cette augmentation des niveaux de bêta-endorphines. Sur les contrôles de suivi à quatre ans (Peniston & Kulkosky, 1991a), seulement 20 % du groupe des alcooliques traités traditionnellement sont restés sobres, contre 80 % du groupe expérimental qui avait reçu un entraînement avec le neurofeedback. En outre, le groupe expérimental a montré une amélioration dans l’adaptation psychologique sur 13 échelles de l’Inventaire clinique multiaxial de Millon par rapport aux alcooliques traité traditionnellement qui se sont améliorés sur seulement deux échelles et ont empiré sur une échelle. Sur l’inventaire de la personnalité 16-PF, le groupe suivi avec le neurofeedback a démontré une amélioration sur 7 échelles, par rapport à une seule échelle dans le groupe de traitement traditionnel. Ainsi, le suivi avec le neurofeedback semble tenir des promesses encourageantes en tant que module adjuvant dans le traitement de l’alcoolisme, et elle peut avoir un réel potentiel à la fois dans le traitement et l’assainissement des dommages causés par l’abus de drogues (Burkett, Cummins, Dickson, et Skolnick, 2005).
Peniston et Kulkosky (1991b) ont ajouté trente séances de 30 minutes du suivi avec le neurofeedback alpha/thêta pour le traitement hospitalier VA traditionnel fourni à un groupe d’anciens combattants du Vietnam souffrant de PRSD, puis les ont comparés à 30 mois après le traitement avec un groupe de contraste qui a reçu seulement un traitement traditionnel. Lors du suivi, les 14 patients avec le traitement traditionnel avaient rechuté et ont été ré-hospitalisés, alors que seulement 3 des 15 patients suivis avec le neurofeedback avaient rechuté. Alors que les 14 patients qui étaient sous traitement médicamenteux et qui étaient traités avec le neurofeedback avaient diminué leurs besoins en médicaments lors du suivi, parmi les patients recevant un traitement traditionnel, un seul patient a réduit ses besoins en médicaments, deux n’ont signalé aucun changement et 10 ont requis une augmentation des médicaments psychiatriques. Sur l’inventaire multiphasique de la personnalité du Minnesota, les patients suivis avec le neurofeedback se sont considérablement améliorés sur les 10 échelles cliniques, considérablement sur un grand nombre d’entre elles, alors qu’il n’y avait aucune amélioration significative sur aucune des échelles dans le groupe de traitement traditionnel.
. L’amélioration de la performance musicale (Egner & Gruzelier, 2002).
. Les spectacles de danse (Raymond, Sajid, Parkinson, & Gruzelier, 2005).
. Avec les athlètes, les dirigeants d’entreprises, et pour l’amélioration cognitive et de la mémoire chez des individus normaux (Hanslmayer, Sauseng, Doppelmayr, Schabus, & Klimesch, 2005 ; Rasey, Lubar, McIntyre, Zoffuto et Abbott, 1996 ; Vernon et al., 2003), qui a été dénommé « éclaircissement du cerveau » lorsqu’il est utilisé pour contrer les effets du vieillissement normal (Budzynski, 1996). Toutefois, ces domaines d’application n’ont pas encore reçu la validation de recherche solide.
Des effets secondaires légers peuvent parfois se produire lors du suivi avec le neurofeedback. Par exemple, une personne peut parfois se sentir fatiguée, ces sentiments passent rapidement après une séance. Si vous mettez votre thérapeute au courant de ces sentiments, ils peuvent modifier les protocoles et généralement, éliminer rapidement de tels effets légers.
Il est cependant possible que des effets négatifs plus importants se produisent (Hammond, Stock-dale, Hoffman, Ayers, & Nash, 2001) si le traitement n’est pas encadré par un professionnel compétent, certifié qui individualisera le suivi. Une approche uniforme qui n’est pas adaptée à l’individu posera sans aucun doute un plus grand risque de produire soit une réaction indésirable, soit d’être simplement inefficace. En raison de l’hétérogénéité de l’activité cérébrale dans les grandes catégories de diagnostic (par exemple, TDA/TDAH, blessures à la tête, dépression, autisme ou trouble obsessionnel-compulsif), le traitement nécessite l’individualisation. Ainsi, il est souligné encore une fois que tout le monde n’a pas besoin du même traitement, et que si la thérapie n’est pas adaptée à la personne, le risque d’être inefficace, voire même nuisible dans de très rares cas, est plus grand. Par exemple, Lubar et al. (1981) ont publié une étude contrôlée, à inversion, en double aveugle sur l’épilepsie qui a documenté que les problèmes de trouble convulsif pouvaient être améliorés avec le neurofeedback, mais ils pouvaient aussi être aggravés si un mauvais type de traitement était effectué. De même, Lubar et Shouse (1976, 1977) ont documenté que les symptômes de TDA/TDAH pouvaient aussi s’améliorer, mais aussi être aggravés si un traitement inappropriée était effectuée. Par conséquent, chercher un professionnel qualifié et certifié qui fera une évaluation complète de la fonction cérébrale (par exemple, avec un QEEG ou une évaluation minutieuse de l’activité EEG brute) est considéré être d’une importance vitale.
Si vous cherchez de l’aide pour un problème psychologique, psychiatrique ou médical, comme ceux décrits ci-dessus, il est recommandé que vous déterminiez que le praticien que vous sélectionnez est autorisé ou certifié pour la pratique indépendante en tant que professionnel de la santé ou de la santé mentale.
Il est important de se rappeler que le succès impressionnant documenté dans la recherche sur le neurofeedback est basé sur le travail de professionnels qualifiés, après une évaluation individuelle, et avec des sessions d’un suivi qui sont encadrées par un thérapeute compétent plutôt que des sessions sans surveillance qui se déroulent dans un bureau ou à la maison.
Information tirées du site de Ruby Villar Documet
Accompagnement psychothérapeutique pour enfant, adolescent et adulte. Les outils utilisés sont le fruit de mon expérience personnelle et professionnelle, (cf présentation). La consultation individuelle est de 60 euros. La consultation psychologique n’est pas remboursée. Certaines complémentaires prennent en charge quelques séances. La consultation se déroule au 29 rue d’Amiens à Arras (Porte cochère). Les ateliers familiaux sont à 100euros, Les Ateliers fratrie :80 euros.
ont pour objectif de se découvrir, de prendre conscience de ses besoins, de ses forces et de ses ressources. (S’ils sont hyper efficaces, ils ne rentrent pas dans le cadre d’une psychothérapie. Il n’y a donc aucun empêchement à les vivre en groupe, entre amis ou sans se connaître).
Parce que l’autre nous apprend sur nous-même, sur les relations, c’est une richesse inépuisable!
Prendre le temps de se poser pour se découvrir
Pourquoi l’autohypnose? c’est mon dada! et c’est juste efficace. L’hypnose fait souvent peur. Pourtant c’est un outil très intéressant, très simple, que vous pratiquez déjà sans le savoir! Ici, c’est apprendre à diriger votre autohypnose pour qu’elle soit bonne pour vous.
Parce que les recherches scientifiques, les études en psychologie nous apprennent énormément sur le fonctionnement humain, sur les relations, sur le bonheur.
Petite lecture bienfaisante!
Raphaëlle Boisleux décembre 30 / 2016
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Deux jeunes Stage "Mieux se connaître pour choisir sa vie" Session octobre 2016.